mardi 27 novembre 2007

AG du mardi 27 novembre

Une AG s'est tenue ce midi en amphi D à Lyon 3, à la Manu.
Environ 250 étudiants y étaient présents, ainsi que des personnels administratifs.
L'AG et sa tribune n'ont proposés aucun vote.
Un commité de mobilisation a été par la suite désigné.

vendredi 23 novembre 2007

Point sur la mobilisation étudiante

Mercredi 21 novembre : sur le campus des quais, où Lyon 2 est toujours en fermeture administrative, une après-midi débat est organisée. 2 AG d'ensignants et du personnel soutiennent les étudiants en lutte.

Mardi 20 novembre 2007 : plus de 15 000 manifestant-es dans les rues de Lyon. Un article sur la manif et un autre. Le campus de Bron est toujours occupé, une AG des enseignants s’est tenue le matin : "La lutte continue sur les campus lyonnais".

AG le mardi 27 novembre 2007

Une AG sur la Loi d'Autonomie des Universités est organisé mardi 27 novembre 2007 à Lyon 3, à la Manu.

De 12h à 14h en amphi D.

Venez nombreux !

dimanche 18 novembre 2007

Un soixantaine d’universités mobilisées contre la loi Précresse

Ce week-end, la fronde contre la loi Pécresse dans les facs monte encore en puissance. Une soixantaine d'universités sur 84 sont «mobilisées» et 36 «bloquées ou fermées» mercredi , contre 16 mardi et 13 lundi, en protestation contre la loi sur l'autonomie des universités.
Des manifestations étaient prévues dans la journée dans onze villes : Paris, Toulouse, Lyon, Bordeaux, Rouen, Montpellier, Saint-Etienne, Rennes, Grenoble, Lille et Aix-en-Provence.
En plusieurs endroits, comme à Toulouse, les étudiants ont manifesté ou prévoyaient de défiler aux côtés de salariés en grève contre la réforme des régimes spéciaux de retraite.
Un millier d'étudiants de Montpellier-II (Sciences) réunis en assemblée générale ont voté pour le blocage de leur université.

jeudi 15 novembre 2007

Grève et mobilisation des étudiants : les principaux points de contestation

Voici les trois points de la loi Pécresse du 11 août 2007 sur l'autonomie des universités contestés par les étudiants lors des assemblées générales.

Logique marchande

L'aticle 28 autorise notamment les universités à se doter de "fondations universitaires", capables d'attirer des financements privés. Les intérêts des entreprises ne sont pas adaptés aux objectifs de l'enseignement supérieurs, selon les contestataires, qui considèrent également cet article comme un signe de démantelement d'un service public.

Inégalités entre les universités

Les étudiants en grève craignent aussi que l'article 28 crée un enseignement supérieur à deux vitesses, toutes les universités n'ayant pas le même pouvoir d'attraction vis-à-vis des entreprises. "L'argent ira toujours à des université-vitrines comme Assas, la Sorbonne et Sciences-po à Paris et pas à Villetaneuse ou Perpignan" a notamment déclaré Bruno Julliard, le président de l'Unef.
Les établissements situés dans d'importants bassins d'emplois, pourraient aussi se trouver plus avantagés.

Démocratie universitaire

- L'accroissement des pouvoirs des présidents, élu pour quatre ans par le conseil d'administration, est jugé trop important. Le président reçoit par exemple un droit de veto sur toute affectation de personnel. Il peut recruter des contractuels, que ce soit sur les missions des Biatoss ou les missions d’enseignement et/ou de recherche.

- Le conseil d'administration, qui "détermine la politique de l'établissement" comprend dans la nouvelle loi, entre 20 et 30 membres, contre 60 membres auparavant. Certains étudiants considèrent qu'un déséquilibrage des pouvoirs a été instauré.
Le conseil des 60 membres était composé de 26 enseignants ( 43,33 %), élus pour 4 ans, 15 étudiants (25%) élus pour deux ans, sept personnels administratifs et techniques (11,66%) élus pour quatre ans, douze personnalités extérieures (20%) élues pour quatre ans.
La loi Pécresse stipule qu'il doit désormais être composé de : huit à quatorze représentants des enseignants-chercheurs (26,6% à 70%), sept ou huit personnalités extérieures à l'établissement (23,33% à 40%), de trois à cinq représentants des étudiants et des personnes bénéficiant de la formation continue inscrits dans l'établissement (10 à 25%), deux ou trois représentants du personnel (6,6% à 15%).
Par ailleurs, des étudiants voient d'un mauvais oeil l'augmentation du nombre de personnalités extérieures, au détriment de leur représentation et de celle du personnel.

mardi 13 novembre 2007

Etat de la Mobilisation en France

Au soir du 12/11, on en est à 16 universités totalement ou partiellement en grève avec piquets de grève bloquants : Paris I (site de Tolbiac), Paris IV (sitede Clignancourt), Paris X Nanterre, Rouen, Tours, Caen, Nantes, RennesII, Toulouse le Mirail, Pau, Perpignan, Aix-Marseille I, Lyon II,Montpellier II, Lille III, Lille I.
Au moins une dizaine d’universités pourraient mettre en place des piquets de grève dans les jours qui viennent : Paris VII, Rennes I,Brest, Toulouse Arsenal, Toulouse Rangueil, Montpellier III, Grenoble,Nancy II, Metz, Amiens, Arras ...
et Lyon 3? La question est posée...

Cf: Au 13/11 midi, P10 Nanterre vient d'être débloquée par les CRS, alors que Dijon vient de voter le blocage en AG

AG et Manifestation

Manifestation prévue Mercredi 14 novembre
Départ à 14h, place Bellecour

Assemblée Générale Jeudi 15 novembre à 13h
Amphi Fugier, Lyon 2 quai (74 rue Pasteur)